23/07/2025
La DNC (dermatose nodulaire contagieuse) est une maladie strictement animale n’affecte que les bovins, les zébus et les buffles. Elle est très contagieuse et se transmet par piqûre d’insectes de type stomoxe ou taons (mouches).
Elle ne présente aucun risque pour l’être humain (ni par contact avec des bovins infectés, ni par la consommation de produits issus de ces animaux, ni par piqûres d’insectes).
Elle ne présente aucun risque pour l’être humain (ni par contact avec des bovins infectés, ni par la consommation de produits issus de ces animaux, ni par piqûres d’insectes).

Le 29 juin en Savoie, était identifié le premier cas de DNC en France, et depuis d’autres foyers ont été détectés.
Conformément au droit européen qui impose l’éradication de cette maladie, les foyers de bovins infectés sont totalement dépeuplés afin d’éviter qu’elle ne s’installe et ne se dissémine. Cette mesure s’explique du fait de la durée d'incubation longue de la maladie (28 jours) et de la possibilité de bovins infectés sans signes cliniques pouvant continuer à la propager.
L’État accompagne les éleveurs dans le cadre de ces dépeuplements, et les animaux euthanasiés font l’objet d’une indemnisation. Un soutien psychologique est également proposé à l’éleveur, pour l’accompagner dans cette épreuve difficile.
Des zones réglementées, dites de « protection » ou de « surveillance », présentant différentes mesures (concernant la biosécurité, la surveillance en élevage, les mouvements de bovins, les sous-produits animaux et l’alimentation animale) ont été instaurées par arrêté préfectoral n°2025-02261.
En Savoie et Haute-Savoie, la campagne de vaccination contre la maladie a démarré.
Conformément au droit européen qui impose l’éradication de cette maladie, les foyers de bovins infectés sont totalement dépeuplés afin d’éviter qu’elle ne s’installe et ne se dissémine. Cette mesure s’explique du fait de la durée d'incubation longue de la maladie (28 jours) et de la possibilité de bovins infectés sans signes cliniques pouvant continuer à la propager.
L’État accompagne les éleveurs dans le cadre de ces dépeuplements, et les animaux euthanasiés font l’objet d’une indemnisation. Un soutien psychologique est également proposé à l’éleveur, pour l’accompagner dans cette épreuve difficile.
Des zones réglementées, dites de « protection » ou de « surveillance », présentant différentes mesures (concernant la biosécurité, la surveillance en élevage, les mouvements de bovins, les sous-produits animaux et l’alimentation animale) ont été instaurées par arrêté préfectoral n°2025-02261.
En Savoie et Haute-Savoie, la campagne de vaccination contre la maladie a démarré.